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Pourquoi charpentier-scieur ?

Le bois d’œuvre de notre région est très peu valorisé. Depuis tout petit je vois des haies de cyprès de Provence partir en fumée dans les parcelles voisines de celles de mon père paysan. Le pin, fini en plaquette forestière ou en pâte à papier. Il n’y a que le cèdre qui est resté dans la filière bois d’œuvre.
C’est pour cela que quelques années après avoir ouvert mon entreprise de charpente je décide de m’équiper d’un banc de scie qui me permettra d’être autonome en bois de charpente et de ne travailler qu’avec du bois local.

La scierie

Cette scie ne vient pas de loin, elle appartenait à l'un de mes anciens scieurs qui avait malheureusement du fermer quelques années auparavant. Elle me permet de scier du bois de charpente jusqu’à 8 mètres ainsi que de la lame de terrasse ou du bardage. Le bois vient d’un périmètre de 50km autour de la scierie.

La charpente

Adepte du travail à l’ancienne, nous traçons souvent nos charpentes à l’aide du lignage et du piquage. Cette méthode s’adapte parfaitement au bois brut de sciage. Nous préfabriquons aussi nos charpentes en atelier, à l’aide de fiches de taille si besoin, selon l’ampleur du chantier.
Nous optons pour des systèmes constructifs qui se passent de produits issus de l’industrie du bois tels que l’OSB ou le lamellé-collé, par exemple. Cela nous oblige à faire une triangulation plus importante et à fabriquer un type de contreventement bois ou par feuillard lorsque le projet ne nous permet pas d'utiliser uniquement du bois.

Et pourquoi pas des ponts ou des passerelles ?

Le cyprès a une bonne résistance mécanique et une très bonne durabilité (classe 4). C'est l'essence idéale pour les aménagements extérieurs et surtout pour les structures.

Charpentier-scieur

sur les territoires ensoleillés de Provence

Charpentier-scieur

sur les territoires ensoleillés de Provence

Pourquoi charpentier-scieur ?

Le bois d’œuvre de notre région est très peu valorisé. Depuis tout petit je vois des haies de cyprès de Provence partir en fumée dans les parcelles voisines de celles de mon père paysan. Le pin, fini en plaquette forestière ou en pâte à papier. Il n’y a que le cèdre qui est resté dans la filière bois d’œuvre.
C’est pour cela que quelques années après avoir ouvert mon entreprise de charpente, je décide de m’équiper d’un banc de scie qui me permettra d’être autonome en bois de charpente et de ne travailler qu’avec du bois local.

La scierie

Cette scie ne vient pas de loin, elle appartenait à l'un de mes anciens scieurs qui avait malheureusement du fermer quelques années auparavant. Elle me permet de scier du bois de charpente jusqu’à 8 mètres ainsi que de la lame de terrasse ou du bardage. Le bois vient d’un périmètre de 50km autour de la scierie.

La charpente

Adepte du travail à l’ancienne, nous traçons souvent nos charpentes à l’aide du lignage et du piquage. Cette méthode s’adapte parfaitement au bois brut de sciage. Nous préfabriquons aussi nos charpentes en atelier, à l’aide de fiches de taille si besoin, selon l’ampleur du chantier.
Nous optons pour des systèmes constructifs qui se passent de produits issus de l’industrie du bois tels que l’OSB ou le lamellé-collé, par exemple. Cela nous oblige à faire une triangulation plus importante et à fabriquer un type de contreventement bois ou par feuillard lorsque le projet ne nous permet pas d'utiliser uniquement du bois.

Et pourquoi pas des ponts ou des passerelles ?

Le cyprès a une bonne résistance mécanique et une très bonne durabilité (classe 4). C'est l'essence idéale pour les aménagements extérieurs et surtout pour les structures.